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Faculté de médecine Faculté des sciences Institut de médecine Section des sciences Sociale et préventive pharmaceutiques Certificat de formation continue en pharmacie communautaire Programme de la journée du 10 février 2006 « Le client chroniquement difficile ou le pharmacien face à la maladie chronique » Problème No 4 ; 5
Matinée :Analyse de 2 problèmes courants d’officine
8h45
Introduction et commentaires pédagogiques
• Thématique de la journée : le pharmacien face à un client « difficile » qui revient régulièrement à l’officine. « Difficile » parce : discours agressifs ; demandes multiples, contradictoires, ou irrationnelles ; mise en échec ; consommateur de temps et d’énergie.
o Comment reconnaître la demande du client
o Comment reconnaître un trouble psychosomatique.
o Quel rôle pour le pharmacien dans la gestion d’un syndrome douloureux chronique ou d’une maladie psychiatrique chronique non compensée.
o Comment gérer un entretien avec un client « difficile » : des outils dans l’atelier de l’après-midi.
Introduction et préparation au travail de groupe
Lecture des problèmes 4 et 5. Répartition en 2 groupes de travail ; 1 histoire par groupe.Analyse des déterminants des situations via l’arbre des actions et
11h00 Présentation des travaux de groupe. Echange avec un médecin praticien
Les troubles psychosomatiques représentent une grande part de la pratique d’un médecin généraliste, d’où l’expertise d’un médecin de premier recours. Clarification des notions de troubles psychosomatiques, syndrome douloureux chronique. Concepts de « tourisme médical », le « Honeymoon ou Divorce » de la relation thérapeutique, le « jamais mieux », les « bénéfices secondaires ». La gestion pratique des situations est abordée l’après-midi à travers 12h30 à 13h30 Déjeuner Après-midi : Atelier pratique des techniques d’entretien La relation pharmacien–client autour du patient chronique « difficile » Démonstration par 2 tuteurs de 2 scènes d’entretiens client Travail en plénière : analyse des scènes.Travail par groupes de 3 (un client, un médecin, un observateur, à tour de rôle). Techniques d’entretien.
15h30 Pause contact 16h00 Synthèse générale
17h00 Evaluation de la journée et informations pour la séance suivante 17h30
Problème 4. Une cliente de 1952 qui était une cliente de notre service de nutrition il y a quelques années et qui vient de déménager dans notre village vient actuellement comme cliente de notre pharmacie.
Cette cliente a un très lourd passé médical et chirurgical non sans séquelles puisqu’elle ne peut avoir d’enfants et souffre de très fortes douleurs cérébrales.
Il est certain que l’ensemble de son vécu et de ses douleurs a mis en place un terrain dépressif accentué par le fait que nous avons l’impression qu’elle passe d’un médecin à l’autre surtout parce que le médecin traitant n’ayant pas de possibilité de calmer ses douleurs et semble pas très stimulé a faire les recherches nécessaire à ces douleurs.
J’ai pu l’envoyer chez un psychanalyste et chez un médecin de médecin général afin de tout reprendre à zéro mais bien entendu tout ne va pas aussi vite que la patiente voudrai.
Nous sommes donc en présence d’une personne très demandeuse et qui attend beaucoup de nous parce que nous avons déjà fait beaucoup
On sent qu’elle voudrait que nous intervenions auprès du médecin traitant pour accélérer les choses
Quel comportement avoir afin de satisfaire la cliente, ne pas froisser le médecin.
L’écouter ce plaindre durant 15 minutes, lui dire ce qu’elle veut entendre mais si on n’y croit pas ?
5. Madame X, 1946 Traitement : Tégrétol, Urbanyl, Déanxi, Séresta (en R) Profil : épileptique, anxieuse, compulsive ( ?) : son comportement à la pharmacie est codifié selon ses propres rituels. Elle se présente un matin pour obtenir du Spasmo-Cibalgine ; elle a déjà pris un Imodium. Dans ce contexte, nous lui proposons du Bioflorin, qu’elle refuse et repart en disant qu’elle « va faire avec le dernier Imodium qui lui reste ». Dans la même journée, son ami vient acheter de l’Imodium… 1 A la fin de cette même journée, Madame X revient avec une ordonnance pour du Pérentérol et précise « que son médecin n’était pas content, que c’était faux de prendre de l’Imodium et qu’il voulait savoir dans quelle pharmacie on lui avait conseillé de prendre ça… » A tort ou à raison, nous avons décidé de « laisser couler » cet épisode.
La même personne, quinze jours auparavant, reçoit sur ordonnance Minoxidil 2% (alopécie temporale). Je lui propose Néo Capil, moins cher, en solution ou en spray, à son choix. Au bout de deux semaines de valse-hésitation et de méfiance envers ce nouveau médicament, elle le rapporte, prétextant qu’elle n’en avait plus besoin… Ma question est : comment ne pas se laisser entraîner dans ces rituels – qui exigent beaucoup de disponibilité – et quelles attitudes conciliantes développer pour éviter des débordements ?
EMAIL SPAM RELATED ISSUES AND METHODS OF CONTROLLING USED BY ISPs IN SAUDI ARABIA HASAN SHOJAA ALKAHTANI *, ROBERT GOODWIN **, AND PAUL GARDNER-STEPHEN ** * Computer Science Department, College of Computer Science and Information Technology, King Faisal University, P.O. Box : 400 Al-Hassa 31982, Kingdom of Saudi Arabia ** School of Computer Science, Engineering and Mathematics, Faculty
F o l i a v e t e r i n a r i a EFFETS INDÉSIRABLES ET INTOXICATION PAR LES PYRÉTHRINOÏDES UTILISÉS CONTRE LES ECTOPARASITES En Belgique, les préparations à base de pyréthrinoïdes peuvent avoir le statut de «médicament» dont la commercialisation est conditionnée à une autorisation de mise sur le marché ou celui de «produit insecticide» vendu en grande surface et dans les mag